La Mouflette est une sale gamine dans un corps d’adulte.
Elle doit son nom à Zazie dans le Métro et à un grand frère facétieux.
Elle est la dernière et se sent de prime abord forcément illégitime.
Ce qui est paradoxalement tout à la fois une contrainte et une grande liberté.
La Mouflette ne se sent ni artiste ni artisane surtout lorsqu’elle en lit les définitions dans le dictionnaire.
Mais éprouve un besoin irrépressible de faire toutes sortes de fabrications avec ses mains, en utilisant des matériaux simples et le moins possible polluants.
Jeter peu, réutiliser beaucoup, rater, se rattraper, recommencer.

La Mouflette aime l’art de la chute.
La chute de bois, de papier, la planche martyre, le papier mal découpé, les vieux draps brodés, les cartes routières, les bouts de cuir…

Vous trouverez la Mouflette en chair et en poils en Bretagne dans les Côtes d’Armor, sur quelques marchés entre avril et octobre, sur ce site et assez peu sur les réseaux sociaux parce que c’est vraiment un autre métier et qu’elle n’a pas trop l’algorythme dans la peau.

La Mouflette est souvent confondue avec la moufette, petit animal à l’odeur nauséabonde quand il se sent attaqué.
La Mouflette fait donc attention à son odeur mais personne n’est parfait.

Je suis La Mouflette (et toc)
Je suis Cati (pour aller plus vite)
Je suis Anne-Catherine (vraiment si c’est obligé parce que c’est vraiment moche comme prénom)
Je suis Cathyrex (pour vous bouffer tout cru groooaaarrr)
D’autres choses et très peu à la fois (paroles paroles paroles)